🎤 Chanter avec son arrangeur : le guide ultime pour votre voix (Genos, Ketron, Korg…)
De nombreux claviéristes hésitent à brancher leur micro directement dans leur arrangeur, redoutant des réglages complexes ou une qualité décevante. Pourtant, les arrangeurs haut de gamme actuels (Yamaha Genos 2, Ketron Event, Korg Pa5X, mais aussi PSR-SX920 ou Pa1000) intègrent des chaînes de traitement vocal extrêmement puissantes, capables d’offrir un rendu quasi professionnel avec les bons réglages.
Dans cet article ultra complet 🧠, on vous accompagne pas à pas, du choix du micro au mix final, en passant par l’enregistrement, pour que votre voix brille autant que votre jeu de clavier ✨.
🎙️ Choisir le bon micro pour son arrangeur
Le choix du microphone est fondamental. Il conditionne à la fois la qualité du son capté, le confort de chant, et le comportement en situation de scène.
Micro dynamique (type Audio Technica AE6100) : solide, tolérant au larsen, idéal pour les scènes bruyantes et les voix puissantes. C’est un choix sûr, mais qui manque parfois de finesse. Idéal lorsque l’on débute.
Micro à condensateur (comme un Shure KSM9 ou un DPA 2028) : plus sensible, il capte mieux les subtilités et offre un rendu très naturel. À privilégier pour des prestations posées ou des styles vocaux riches.
Micro serre-tête : parfait si vous jouez et chantez en même temps (par exemple le DPA 6066). Il libère les mains, garantit un niveau constant, et se fait oublier. Il en existe de très bons en version condensateur (⚠️ alimentation fantôme nécessaire).
📌 À retenir :
Pour choisir le bon micro, notre guide complet est disponible en ligne ! C’est le guide le plus complet en langue Française sur ce sujet !
🎧 Dynamique : robuste et fiable.
🎼 Condensateur : plus fin, plus riche.
🤸 Serre-tête : liberté maximale sur scène.
⚡ Vérifiez que votre clavier fournit du +48V si micro à condensateur.
📊 Réglages du préampli : gain, compression, égalisation
Une fois le micro branché, commence le vrai travail : régler les niveaux pour éviter les saturations et obtenir un son clair et stable.
1. Gain : commencez toujours en parlant/chantant fort. Montez le gain jusqu’à frôler la saturation, puis redescendez légèrement. L’idée : ne jamais clipper (saturer), mais capter assez de signal.
Point vocabulaire : Qu’est-ce que le gain en audio, et plus précisément pour une entrée micro ? 🎛️
Le gain est le réglage qui contrôle la quantité de signal sonore capté par le microphone avant qu’il ne soit envoyé à la console, l’interface ou l’arrangeur.
Plus simplement, le gain amplifie le signal faible du micro pour qu’il soit assez fort et clair à traiter.
Si le gain est trop faible, la voix ou l’instrument sera trop faible et perdra en détail.
Si le gain est trop élevé, le signal va saturer, ce qui crée des distorsions désagréables, parfois appelées “grésillements”.
Dans le cas d’une entrée micro, le gain est donc essentiel pour obtenir un son clair, naturel et sans parasites, en ajustant précisément le niveau d’amplification du micro avant traitement.
2. Compression : elle lisse la dynamique, évite les écarts de volume trop brutaux. Un ratio de 2:1 ou 3:1 suffit souvent. Réglez l’attaque assez rapide pour contenir les pics, et relâchez doucement pour préserver le naturel.
Point technique : Qu’est-ce que la compression en audio et comment ça fonctionne ? 🎚️
La compression est un traitement sonore qui sert à contrôler la dynamique du signal audio, c’est-à-dire la différence entre les sons faibles et les sons forts.
Concrètement, la compression va réduire le volume des passages trop forts pour éviter qu’ils ne saturent ou agressent l’oreille, tout en laissant les passages plus calmes plus audibles.
Le compresseur agit comme un “gardien” qui limite les pics de volume excessifs sans écraser totalement la dynamique naturelle.
Voici comment ça marche :
Lorsque le son dépasse un certain seuil (le “threshold”), le compresseur réduit automatiquement le volume de ce son fort.
La rapidité avec laquelle il réagit est réglable (attaque).
La durée pendant laquelle il continue à réduire le son après le pic s’appelle le relâchement (release).
Le ratio indique à quel point le son fort est réduit (par exemple un ratio 3:1 signifie que pour 3 dB au-dessus du seuil, seulement 1 dB passe).
Pour une voix au micro, la compression permet d’avoir un son plus stable et professionnel, en évitant que certaines notes criardes ne gênent, tout en gardant le naturel et l’expression du chant.
3. Égalisation : chaque voix est unique et nécessite un traitement adapté.
Qu’est-ce que l’égalisation en audio et comment ça fonctionne ? 🎚️🎵
L’égalisation (ou EQ) est un outil qui permet de modifier l’équilibre des différentes fréquences dans un son.
Chaque son est composé de basses, médiums et aigus, et l’égalisation sert à accentuer ou atténuer certaines plages de fréquences pour améliorer la clarté, la chaleur, ou réduire des défauts.
Pour une voix au micro, l’égalisation aide à :
Réduire les fréquences qui rendent le son “boueux” ou “boîteux” (souvent dans les graves ou bas-médiums).
Mettre en avant les fréquences qui rendent la voix claire et intelligible (souvent dans les médiums et aigus).
Atténuer les fréquences gênantes comme les sifflantes (les “s” trop stridents).
Concrètement, on va ajuster des curseurs ou des “bandes” pour booster ou couper certaines fréquences afin que la voix s’intègre bien dans le mix et sonne naturellement.
Voici quelques quelques règles fonctionnent bien :
Coupez les graves sous 100–120 Hz (bruits de souffle, pops).
Creusez vers 250–350 Hz pour éviter l’effet « boîte ».
Rehaussez légèrement les aigus à partir de 6–8 kHz pour gagner en clarté.
📌 Exemple concret sur Genos 2 :
Gain réglé pour atteindre -6 dB max.
Compression : ratio 2.5:1, attaque 10 ms, relâchement 120 ms.
EQ : -4 dB @ 250 Hz, +3 dB @ 8 kHz.
🎯 Résumé pratique :
🔊 Un bon gain = pas de saturation, signal fort.
📉 Compression douce = voix stable.
🎚️ EQ ciblée = clarté et équilibre.
🎶 Harmonies vocales intégrées : magie ou piège ?
L’harmoniseur vocal intégré permet d’enrichir votre performance avec des chœurs automatiques, calés sur les accords que vous jouez ou sur un fichier MIDI.
Sur Yamaha Genos 2 /PSR:
Le VH2 propose jusqu’à 3 voix d’harmonie. Vous pouvez créer un duo ou trio réaliste avec un dosage fin. Pour plus de naturel, commencez par un seul pupitre (tierce ou quinte), avec un mixage léger (25–30 %).
Les nombreux présets intégrés vous permettrons de choisir facilement un réglage immédiatement sans avoir à travailler vous-même le son.
Sur Korg Pa5X :
L’harmoniseur Shift Audio est d’excellente qualité. Intégrés au SongBook, les presets vocaux s’activent automatiquement avec le morceau : Gospel, Pop Duo, etc. Très pratique pour ne jamais avoir à reprogrammer en concert.
Sur Ketron Event :
Trois voix d’harmonies pilotées en temps réel, très musicales. Le rendu est naturel, sans latence. En live, on peut les couper d’un seul bouton, très utile en improvisation.
📌 Exemples créatifs :
Un solo de variété avec un léger doublage + octave inférieure sur le refrain.
Un gospel avec tierce + quinte panées gauche/droite.
Une ballade où la voix principale reste seule et les chœurs n’entrent qu’au pont.
🎯 Résumé express :
🎛️ Harmonies riches si bien dosées.
🧠 Privilégiez l’automatisation via SongBook/Registration.
🚫 Trop d’harmonies = confusion. La voix lead doit toujours rester lisible.
🌌 Créer de la profondeur avec la réverb et le delay
Avant tout, nous vous conseillons impérativement de lire notre article complet sur les effets qui est disponible en ligne.
Les effets spatiaux sont des outils indispensables pour placer la voix dans un espace sonore cohérent et agréable. Ils contribuent à donner une impression de profondeur, d’ambiance, et d’émotion. Sans eux, la voix peut paraître trop sèche, plate, voire artificielle. À l’inverse, un excès d’effets peut rapidement transformer la voix en une bouillie sonore confuse, où chaque mot devient difficile à distinguer. L’art consiste donc à trouver un juste équilibre.
🔊 La réverbération : restituer l’espace naturel ou créer un univers
La réverbération simule la réflexion du son sur les surfaces d’une pièce (murs, plafond, sol), recréant ainsi l’ambiance acoustique d’un lieu. Elle agit sur la perception de la taille et de la nature de cet espace.
Types de réverbération courants :
Room : son d’une petite pièce, intime, proche, parfait pour les styles où la voix doit rester au premier plan, comme le lounge ou le jazz.
Chamber : simule une chambre réverbérante plus grande, plus douce et chaleureuse, idéale pour donner un peu plus d’espace sans trop étaler le son.
Hall : reproduit un grand espace type salle de concert, très utilisé dans les ballades ou morceaux émotifs où la voix doit flotter dans une ambiance large et enveloppante.
Plate : un classique en studio, la réverbération plate a un caractère dense et brillant, souvent utilisée sur les voix pop ou soul pour ajouter du corps et une certaine couleur vintage.
Durée de la réverbération (temps de décroissance) :
Pour une ambiance intime et proche, préférez des temps courts, généralement entre 1,4 et 1,8 secondes.
Pour les ballades, les morceaux lent, ou les passages très émotionnels, des temps plus longs entre 2,2 et 2,6 secondes permettent de créer une sensation d’espace aérien et enveloppant.
Proportion dans le mix (Wet/Dry) :
La réverbération ne doit jamais prendre le dessus. Un mix entre 10 % et 20 % d’effet est généralement recommandé sur la voix principale.
Au-delà, la voix peut perdre sa définition, surtout dans un contexte musical dense.
Conseils avancés :
Utilisez un égaliseur en insert sur la réverbération pour couper les fréquences basses (en dessous de 200 Hz) afin d’éviter d’alourdir le mix.
Expérimentez avec des réverbs modulées pour donner un léger mouvement et éviter que l’effet ne paraisse statique.
Dans un mix multicanal, placez la réverbération dans un bus séparé pour mieux contrôler son niveau global.
⏳ Le delay : rythme et espace sans brouillard sonore
Le delay est un effet d’écho qui répète le son à intervalles réguliers, créant un effet de profondeur rythmique.
Rythme du delay :
Caler le delay sur le tempo de la chanson est crucial. Par exemple, un délai sur une noire ou une croche permet d’avoir des répétitions musicales qui s’intègrent naturellement au morceau.
Le delay doit souvent être réglé avec un feedback faible, généralement 1 à 2 répétitions, pour ne pas noyer la voix.
Utilisation courante :
Un simple écho sur la fin d’une phrase ou d’un mot peut suffire à habiller la voix, donnant un effet d’espace sans encombrer la diction.
Évitez les delays permanents ou très denses, qui alourdissent le mix et rendent le texte difficilement intelligible.
Variantes créatives :
Delay ping-pong (alternance gauche-droite) pour créer un mouvement stéréo intéressant, à utiliser avec parcimonie sur la voix lead.
Delay multi-tap pour un effet plus rythmique et syncopé, adapté aux styles électro ou pop.
Conseils avancés :
Utilisez un filtre passe-haut ou passe-bas sur le delay pour contrôler le spectre fréquentiel des répétitions et éviter l’accumulation dans les graves ou aigus.
Automatisez le niveau de delay sur certains passages pour créer des montées ou des intensités dynamiques.
✨ Effets créatifs et textures vocales à explorer
Au-delà de la réverbération et du delay, d’autres effets peuvent apporter une touche originale et spécifique selon le style musical :
Auto-tune léger : très utilisé dans la pop et le R&B moderne, il corrige subtilement la justesse tout en donnant ce petit « effet glissant » caractéristique, comme sur les claviers Korg Pa5X.
Vocoder vintage : pour un effet robotique, futuriste, ou rétro, le vocoder (ex : Ketron Event) mélange la voix avec un signal synthétique, créant un son unique très utilisé en electro, funk et musique expérimentale.
Doubler la voix avec une octave robotisée : sur certains refrains, cela peut renforcer l’impact en ajoutant une couche électronique tout en gardant la voix principale claire.
Chœurs ou doublages automatiques : des plugins qui créent des voix supplémentaires décalées ou harmonisées, parfaits pour étoffer le refrain sans faire un enregistrement supplémentaire.
🎯 Résumé express
🏠 Réverbération : courte (Room/Chamber) pour l’intime et la proximité, longue (Hall/Plate) pour l’émotion et la profondeur.
⏱️ Delay : rythmique, discret, limité en répétitions pour éviter d’alourdir la diction.
🎨 Effets créatifs : Auto-tune, vocoder, doublages robotisés à utiliser en petites touches comme des épices pour personnaliser le son vocal.
🎚️ Mixer sa voix avec l’accompagnement
Un bon mix, c’est un équilibre subtil. Et parfois, il faut oser baisser l’accompagnement plutôt que pousser la voix.
Utilisez les égaliseurs pour creuser l’espace :
Coupez un peu entre 3–4 kHz dans les backing tracks ou l’accompagnement : c’est là que la voix a besoin d’exister.
Sur scène, réduisez légèrement les médiums sur les nappes, les cuivres ou les drums.
Astuce retour :
Ayez toujours un retour orienté vers vous mais pas vers le micro.
Coupez un peu les aigus dans le retour pour éviter les larsens.
📌 Exemples de mix :
Pop : voix -2 dB par rapport au style, mais EQ boostée à 8 kHz.
Jazz : voix en avant, très peu d’effets, EQ neutre.
🎯 Résumé pratique :
🔉 Si la voix ne perce pas, baissez l’accompagnement.
🎛️ Creuser l’EQ des styles à 3–4 kHz.
🔁 Retour dédié = confort + sécurité.
💾 Enregistrement intégré : une prise, zéro stress
Vos arrangeurs permettent d’enregistrer à la volée, idéal pour faire des démos, du contenu web, ou simplement s’entraîner.
Genos / Genos 2 : Enregistre voix et accompagnement simultanément en stéréo + mono. Via USB Audio Multi, vous pouvez importer le tout dans votre DAW pour affiner le mix.
Pa5X : Enregistrement multipiste (jusqu’à 4 stems audio en 24 bits !). Parfait pour garder la voix sur une piste séparée et retravailler les effets après coup.
Ketron Event : Mix stéréo exportable en WAV depuis une simple touche. Ultra rapide, ultra efficace.
📌 À ne jamais oublier :
Sauvegardez vos réglages micro dans chaque Registration ou SongBook.
Faites un test avant chaque concert : micro > gain > effets > mix final.
🎯 Résumé express :
🎙️ Enregistrement facile sur tous les claviers récents.
🎛️ Multi-pistes possibles (notamment sur Korg).
💾 Sauvegardes = pas de mauvaises surprises sur scène.
🎚️ Exemples de réglages vocaux pour chanter avec votre arrangeur
Pour vous aider à mieux visualiser les réglages, voici 6 exemples concrets adaptés à différents styles de chant, du classique au plus moderne. Ces presets vous donneront une base solide à ajuster selon votre voix et votre matériel.
1. Style Michel Sardou (chanson française classique)
Micro : Dynamique
Gain : Modéré, éviter la saturation
Compression : Ratio 3:1, attaque moyenne, relâchement moyen
EQ : +2 dB @ 2 kHz (présence), coupe sous 100 Hz, creux @ 300 Hz, +3 dB @ 8 kHz (clarté)
Harmonies : 1 voix en tierce, mix 20 %
Reverb : Salle, 1,5 s, mix 15 %
Delay : Echo léger sur croche, mix 5 %
2. Style U2 (rock/pop atmosphérique)
Micro : Condensateur
Gain : Élevé, vigilance aux pics
Compression : Ratio 4:1, attaque rapide, relâchement rapide
EQ : Boost @ 3 kHz, coupe graves < 120 Hz, boost @ 10 kHz
Harmonies : 2 voix (quinte + octave), mix 30 %
Reverb : Hall longue (2,5 s), mix 20 %
Delay : Echo sur noire pointée, mix 10 %, tempo synchro
3. Style Pop moderne
Micro : Serre-tête condensateur
Gain : Ajusté pour bon headroom
Compression : Ratio 2:1, attaque rapide, relâchement moyen
EQ : Coupe graves < 80 Hz, creux @ 300-400 Hz, boost @ 7 kHz
Harmonies : 3 voix (tierce, quinte, octave), mix 25 %
Reverb : Plate courte, mix 10 %
Delay : Delay ponctuel sur croche, mix 7 %, tempo synchro
4. Style Soul (chaleureux et expressif)
Micro : Condensateur large membrane
Gain : Modéré à élevé, captant les nuances
Compression : Ratio 3:1, attaque moyenne, relâchement lent (pour garder l’émotion)
EQ : Boost doux autour de 500 Hz (corps), creux à 250 Hz, boost subtil autour de 5 kHz (brillance douce)
Harmonies : 2 voix (tierce + sixte mineure), mix 30 %
Reverb : Plate medium (1,8 s), mix 18 %
Delay : Echo très léger, mix 5 %, tempo libre
5. Style Jazz (naturel et dynamique)
Micro : Dynamique ou condensateur selon la salle
Gain : Modéré, éviter la compression excessive
Compression : Ratio faible 1.5:1, attaque lente, relâchement moyen
EQ : Coupe grave douce < 100 Hz, boost léger @ 3 kHz pour la clarté, creux à 400 Hz
Harmonies : Pas d’harmonies automatiques (naturel)
Reverb : Salle petite (1,2 s), mix 12 %
Delay : Pas de delay ou très subtil
6. Style Electro / Dance (voix traitée et punchy)
Micro : Condensateur
Gain : Élevé, compenser la distance
Compression : Ratio élevé 5:1, attaque rapide, relâchement rapide
EQ : Boost marqué autour de 3-4 kHz, coupe graves agressive < 150 Hz
Harmonies : Doublages octaviés, mix 40 %
Reverb : Hall digital court, mix 10 %
Delay : Delay synchronisé sur croche double, mix 15 %
Effets : Auto-tune léger, vocoder ou chorus modéré
Ces exemples sont des points de départ idéaux. Chaque voix est unique, alors n’hésitez pas à ajuster les paramètres en fonction de votre timbre, votre micro et votre salle.
✅ Conclusion : votre arrangeur est votre meilleur ingé son !
Avec les bons réglages, votre arrangeur peut vous offrir une voix claire, stable, bien intégrée, et même créative. Que vous soyez chanteur amateur ou pro, ne sous-estimez pas ses capacités.
Vous avez maintenant toutes les clés pour faire de votre voix un vrai instrument 🎤, au même titre que vos sons de piano ou de cuivres. Alors branchez votre micro, testez, enregistrez, et… chantez ! 🎶✨
Bonjour, très intéressant comme article. Je chante … très, très faux et du coup, je n’ai jamais essayé de le faire. Mais avec cet article, je vais essayer de le faire, ne serait-ce que pour voir ce que ça donne.
Merci, en tout cas pour cette multitude d’informations fort inyéressantes.